Histoire, technique, homosexualité, ces trois figures permettent de dévoiler l’existence d’une affinité spécifique entre une poignée de chorégraphes de la marge et la pensée de Michel Foucault.
Inventant de nouveaux usages de soi, déjouant les évidences ou encore se dépouillant des oripeaux de la norme, ces artistes proposent d’autres formes pour penser le corps, pour l’agir, pour l’écrire. En filigrane de ces dires et de ces faires, la recomposition du paysage chorégraphique français apparaît peu à peu.