Les « deuxièmes villes » ont souvent fait confiance à leurs nouvelles générations d’acteurs (culturels, entre autres), plus que dans les capitales, et ce pour une raison simple : les temps de décision plus courts et le dialogue souvent plus simple entre décideurs (politiques) et acteurs de la société civile font des villes à taille plus humaine, des villes aux décisions plus réactives, et donc, parfois, paradoxalement moins conservatrices.

Plus d’infos : www.weare-europe.eu
 2e ville  : www.weare-europe.eu/fr/mag/talks/62_les-deuxiemes-villes-moteur-du-nouveau-reseau-culturel-europeen-publie-dans-etapes

La Belle ouvrage propose une formation autour des pratiques de travail collectives.

Il est intéressant de consulter le programme très détaillé de présentation de cette formation : objectifs pédagogiques / public concerné / intentions

Nous constatons l’utilisation de plus en plus fréquente du terme de collectif, et d’autres termes associés. A y regarder de plus près avec les personnes concernées, nous nous apercevons que ces mots recouvrent des enjeux et des pratiques professionnelles variés.

Pour certains, il s’agit d’expérimenter de nouveaux processus de travail au sein d’un groupe, pour d’autres, d’imaginer de nouvelles modalités de gouvernance. Pour beaucoup, il s’agit de redonner sens et plaisir au travail en favorisant et valorisant sa dimension collective, pourtant intrinsèque à l’action de travailler.

Nous proposons à travers cette formation d’explorer la diversité des représentations et des relations que chacun développe à propos de la notion de collectif.

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Depuis de nombreuses années, les arts plastiques, la performance et la danse explorent les registres de la participation, et s’hybrident de plus en plus. Le théâtre multiplie également en lien avec la performativité les expériences de choralités, de participation, d’immersion, ou alors il fictionnalise le spectateur.

Cependant les principaux chercheurs en arts et en esthétique remettent en cause aujourd’hui tout ce qui relève de la participation et cherchent à promouvoir des relations plus complexes aux spectateurs.

Après une première journée d’étude à Paris 8 en janvier 2015, un colloque en décembre 2015 au Théâtre de la Commune, ce projet se déploie à Angers du 16 au 18 juin 2016. Sont réunis des chercheurs, des praticiens et des étudiants pour trois journées de partage et de discussion qui s’annoncent comme les résultats des recherches pratiques menées tout au long de ces deux années.

Ce colloque est une collaboration entre l’Université Paris 8, Labex Arts-H2H, l’Université de Montpellier, et le CNDC Angers.

Plus d’infos : www.labex-arts-h2h.fr /www.cndc.fr

LBA oriente son activité vers la recherche-action populaire et l’ingénierie pour expérimenter, modéliser et diffuser des systèmes dynamiques complexes de participation culturelle et sociale locale (intelligence collective territoriale).

L’association pose 2 postulats de recherche et d’action sur les processus de co-action et de cause commune, facteurs de développement durable et de développement personnel :

I.Rôles et fonctions de l’imaginaire comme lieu/outil du développement de l’individu et de la collectivité en tant que corps social (communauté) en mouvement.

II. Rôles et fonctions des jeux de co-création ludiques et artistiques comme exercices et expériences pratiques de participation civique (cause commune/ bien commun).

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Ce projet quotidien de performance de l’artiste Nadia Vadori-Gauthier est lié à un certain état de violence du monde et à l’envie d’agir au quotidien, depuis les attentats de janvier 2015, pour une poésie en acte, d’œuvrer pour la vie, pour des solidarités, pour plus de douceur entre les catégories et les corps.
En explorant le site internet de cette artiste on découvre dans les archives et les danses récentes de multiples lieux et situations de danse.

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La Mission Nationale pour l’Art et la Culture dans l’Espace Public est lancée le 16 avril 2014 par le ministère de la Culture et de la Communication.

Cette mission de prospective, réflexion et dialogue est présidée par Jean Blaise, directeur du Voyage à Nantes et coordonnée par HorsLesMurs, Centre national de ressources des arts de la rue et des arts du cirque.

Véritable laboratoire d’idées, la Mission a pour but de :
– Faire se croiser les approches et les métiers de la création – arts plastiques et spectacle vivant, plus particulièrement les arts de la rue – autour de l’enjeu commun que constitue l’espace public.
– Stimuler le dialogue entre les entités administratrices et organisationnelles diverses (État, collectivités locales)
– Faire des préconisations concrètes pour favoriser et faciliter les expressions artistiques et les pratiques culturelles dans l’espace public

Le site de la MNACEP donne accès à des comptes rendus d’ateliers tenus dans divers lieux de 2014 à 2016 , ainsi qu’à des entretiens vidéo de personnalités de la création artistique dans l’espace public (la chorégraphe Julie Desprairies par exemple).

Un rapport (à télécharger en pdf) est remis le 14 juin 2016 à la Ministre Audrey Azouley, qui présente à cette occasion onze mesures pour développer ce secteur.

Depuis près de 10 ans, la SACD soutient la manifestation AUTEURS D’ESPACES en partenariat avec un collectif de festivals. Cette manifestation a pour objectif de présenter une sélection de spectacles d’auteurs « arts de la rue », textuels ou non textuels, fixes ou déambulant dont l’écriture spécifique se distingue du théâtre dans la rue.

Sa vocation est également d’ouvrir les spectacles de rue à l’ensemble des répertoires du spectacle vivant, ainsi qu’aux artistes venus de tous horizons (transmédia, plasticiens, architectes, urbanistes, créateurs sonores, écrivains …).

Appel à projet 2017 : La SACD lance un appel à projet national de soutien à la création et aux auteurs des Arts de l’espace public, avec cette année une ouverture vers la création interactive, en partenariat avec un collectif de festivals.

Elle offre une aide à la création (5 000 € pour les projets Arts de la rue et 7 000 € pour les projets mêlant arts de la rue et création interactive) et participe à la diffusion des projets retenus dans les festivals partenaires, Chalon dans la rue, Aurillac et Amiens.

Dépôt des dossiers de candidature : de la mi-octobre à mi-décembre 2016.
La commission a lieu fin janvier 2017.
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Projets 2016
Les créations retenues en 2016 éclairent brillamment le panorama des œuvres visibles dans l’espace public. Non seulement au niveau des répertoires : cirque, danse, théâtre, créations interactives, déambulatoires et pluridisciplinaires ; mais également au niveau de la typologie des compagnies, qu’elles soient reconnues ou débutantes, en confirmation de formes déjà expérimentées ou en recherche d’écriture nouvelles, et ce, sur l’ensemble du territoire.
Ces créations sont diffusées dans 3 festivals partenaires : Chalon dans la rue à Chalon-sur-Saône, au festival international de théâtre de rue à Aurillac, au festival « La rue est à Amiens » d’Amiens

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Le journal Télérama propose une mise en commun d’idées pour construire la culture de demain. La possibilité est donnée à chacun de partager ses idées en s’enregistrant sur la toile. Ensuite suivront des débats oragnisés dans toute la France….

4 thématiques sont possibles :
– Nouvelles formes du faire ensemble, outils et usages collaboratifs, une vraie chance pour la culture ?
– Internet et « crans : en quoi et comment le numérique bouleverse-t-il notre rapport à la culture ?
– Comment réinventer la politique et l’économie de la culture ? Quelles responsabilités, pour quelles visions, quelles ambitions ?
– Sortir de l’entre-soi culturel, faire advenir la diversité, accueillir l’autre : comment faire plus et mieux ?
Des débats seront animés en novembre er décembre prochain à Lyon, Marseille, Paris et Lille.

etats-genereux.telerama.fr