Le groupe DSF – un groupe de jeunes danseurs et danseuses amateurs de Rillieux la Pape, créé en mars 2014. Le groupe est constitué de dix filles et six garçons venant de différentes pratiques de danse et de différents milieux sociaux.

Le projet est né pour créer un cadre de rencontre et de coopération artistique entre des jeunes venant de différents milieux socioculturels. A Rillieux-la-pape vivent plus de soixante-dix communautés, dont la cohabitation n’est pas toujours évidente. Nous croyons que l’art et la culture sont des moyens de lutter contre les phénomènes discriminatoires.

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Faire exister, pour les arts performatifs, une revue conçue comme un studio à ciel ouvert. Penser l’oralité comme un outil : un acte d’énonciation qui vient à la fois informer et transformer le réel de la pratique ou même prolonger l’acte de création. Penser l’acte de parler comme un processus d’apprentissage qui permet de faire émerger des éléments qui n’étaient pas, ou pas encore repérables dans la pratique avant ce travail de mise en parole. Sortir d’une parole de communication et entrer dans la conceptualisation d’un travail ou d’un processus de travail.

Watt se propose de rentrer dans la matière d’un travail à travers trois formes possibles :
> Des entretiens autour du travail d’un artiste interrogé par un autre artiste (Within).
> Une carte blanche sur plusieurs pages (White Page) offerte à un artiste permettant de visualiser la fabrique des outils.
> Et enfin un article de réflexion (What More).

La revue, résolument tournée vers l’Europe portera son regard sur la scène européenne à un rythme biannuel.

La revue est éditée en partenariat avec la Ménagerie de Verre, Paris, avec le soutien de La Manufacture-Lausanne, du Musée de la danse / CCN de Rennes et de Bretagne, et la participation de l’Arsenic à Genève.

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Mode d’emploi dossier de résidence

L’Agence Culturelle d’Alsace a réalisé des boites à outils, Les essentiels : parmi ces outils, un dossier « résidences d’artistes-spectacle vivant » comprenant un bref tutoriel et un dossier pdf

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Le Laboratoire chorégraphique contribue au niveau national au développement du domaine chorégraphique. Pendant dix jours, il offre à une vingtaine de artistes la possibilité d’expérimenter librement et sans pression de production. Le laboratoire est organisé en collaboration avec une infrastructure partenaire, laquelle peut offrir des conditions de travail optimales, avec comme objectif la stimulation des régions à faible développement chorégraphique.

La direction artistique est attribuée à un(e) chorégraphe choisi(e) par l’infrastructure partenaire. Celui/celle-ci invite des artistes de renommée internationale et actifs dans des domaines artistiques divers, avec lesquels les participant(e)s peuvent échanger idées et expériences. Le laboratoire encourage l’échange d’idées créatives, de méthodes de travail artistiques diverses et de démarches innovatrices. Un cadre protégé dans lequel des idées peuvent être développées, des confrontations peuvent apparaître, des artistes peuvent se rencontrer, et qui facilite, peut-être, de futures collaborations.

A travers cette expérience pratique, les chorégraphes prennent acte de l’impact de leurs idées artistiques, peuvent les faire évoluer et ainsi développer de nouvelles stratégies. Le projet permet ainsi à des chorégraphes émergents non seulement de travailler ensemble mais aussi de bénéficier d’un soutien professionnel dans la mise en œuvre de leurs concepts artistiques.

Le Laboratoire chorégraphique a eu lieu en février 2017 à Bâle. La Kaserne Bâle et le Roxy Birsfelden ont choisi Ioannis Mandafounis comme directeur artistique Laboratoire chorégraphique, qui a invité des intervenants et artistes de différents horizons.

Le Laboratoire a offert à environ 20 chorégraphes et artistes la possibilité d’expérimenter ensemble et d’échanger sur différentes questions et pratiques artistiques durant 10 jours.

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L’association Plateau urbain est née d’une idée : utiliser temporairement la partie vacante et obsolète du parc immobilier. En Île-de-France, sur les 4 millions de m² tertiaires vacants, 800 000 m² n’ont pas été loués depuis 4 ans et plus.

S’y ajoutent de nombreux espaces d’activités ou industriels peu attractifs, et plus généralement les biens en voie de mutation, qui forment un véritable marché ignoré. En jouant le rôle d’interface entre ce marché ignoré et cette demande dans une optique sociale et non lucrative, Plateau urbain entend à la fois lutter contre la vacance et agir comme catalyseur de la création d’entreprises, d’associations, de projets artistiques.

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Faire de Plaine Commune en Seine Saint-Denis le premier territoire contributif de France

Un territoire jeune et économiquement très dynamique mais confronté au chômage de masse et aux défis de la mixité sociale et culturelle.

C’est ici qu’à la demande de Patrick Braouezec, le président de Plaine Commune, le philosophe Bernard Stiegler initient un projet d’expérimentation inédit et ambitieux : faire de cette communauté d’agglomération – qui réunit neuf villes de Seine-Saint-Denis – un « territoire apprenant contributif ».

Y seront menés des projets de « recherche-action » contributive, c’est-à-dire incluant les habitants ; à terme, il s’agira de mettre en place un revenu contributif pour partager différemment la richesse à l’heure où l’automatisation fait vaciller l’emploi.
En novembre 2016, les premiers chercheurs ont fait leur rentrée dans le cadre d’une chaire de recherche contributive créée au sein de la Maison des Sciences de l’Homme (MSH-Paris Nord). The Conversation France a rencontré le philosophe pour en savoir plus sur cette initiative, où nouvelles façons de faire de la recherche et réflexion sur ce que le travail sera demain vont dialoguer.

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Cet établissement public territorial Grand Paris Est et les villes de Clichy-sous-Bois et Montfermeil a pour objet de préparer la création à l’horizon 2023 d’un Grand lieu culturel dont la vocation sera artistique, éducative, sociale, économique.

« La révolution des usages et des pratiques du côté des publics autant que des artistes et du monde intellectuel, plaide en faveur de nouvelles modalités d’intervention. Avec le projet Médicis-Clichy-Montfermeil, c’est la question de la culture de demain qui est posée. » Olivier Meneux, directeur de l’EPCC.

Création en cours / Les Temps suspendus / Les regards du Grand Paris / Le Lieu Ephémère sont quatre projets actuellement en développement ou en réflexion.

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La 3e Scène invite les artistes les plus divers à venir créer des œuvres originales en lien avec l’Opéra de Paris.

Grâce à cette nouvelle plateforme numérique lancée en septembre 2015, l’Opéra National de Paris souhaite créer un véritable ≪ Opéra hors les murs ≫, pour favoriser l’accès de tous les publics à l’Opéra.

Plus d’une vingtaine de films: fiction / animation / performance / documentaire.

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Enrichir le paysage parisien, ou plutôt y ouvrir une brèche

La Colonie, c’est son nom, se propose d’importer des modèles de pensée hybrides que l’on a peu l’habitude de voir sous nos latitudes. Sise en plein Xe arrondissement parisien, il s’agit d’un lieu de création et de réflexion pensé autour de l’hybridation entre art et théorie, mais aussi d’un lieu de vie public ouvert à tous, agora moderne modelée autour d’un bar et d’un restaurant central (oui, on pourra assister aux conférences avec son verre).

Résister contre le poids du déni national a toujours nourri ma sensibilité d’artiste et ma pensée de chercheur.
Dans une déclaration d’intention en forme de lettre, Kader Attia développe sa vision pour La Colonie :
« Ouvrir un espace culturel et engagé, dédié aux arts visuels, à la musique, à la performance, à l’expression au sens large, en passant par la pensée critique, dans une société et à une époque où les voies d’expressions libres sont chaque jour recadrées par le conformisme institutionnel, c’est lutter contre la montée du fascisme et de l’obscurantisme. Résister contre le poids du déni national a toujours nourri ma sensibilité d’artiste et ma pensée de chercheur. De la pensée à l’acte, j’ai longtemps rêvé d’un lieu où, depuis l’extérieur du périmètre interdit, il serait enfin possible d’échanger, de dialoguer, d’œuvrer à réparer une société qui n’en fini plus de se fragmenter… Ensemble, à travers la musique, les arts, le spectacle, et les débats, La Colonie va faire tout ce qui est en son pouvoir pour se ré approprier cet espace abandonné par l’opacité de notre monde. »

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