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  • Nouvelle structure : La Fabrique de la danse

    Nouvelle structure : La Fabrique de la danse

    La Fabrique de la Danse se donne pour ambition d’innover pour la danse. Aujourd’hui incubée à 104factory, l’incubateur du CENTQUATRE-PARIS, l’équipe développe plusieurs activités :
    – Des formations artistiques, technico-artistiques (son, lumière, scénographie), administratives et en communication à destination des professionnels du spectacle vivant ;

    – Un incubateur de chorégraphes pour faciliter l’accès aux compétences, outils et infrastructures indispensables à la création d’une oeuvre et d’une compagnie ;

    – DanceNote, une plateforme collaborative dédiée à la danse;

    – Des interventions artistiques en entreprise sous différentes formes : mise en mouvement et initiation au processus chorégraphique au service du développement des savoir-être, événements divers, cours, etc. ;

    Des spectacles et performances sur scène et dans la ville….

    En 2019, La Fabrique de la Danse ouvre ses portes au 205 avenue Gambetta (Paris 20). Lauréate de l’appel à projets urbains innovants Réinventer.Paris, La Fabrique de la Danse a pour mission de soutenir la création artistique, favoriser l’innovation dans la danse et démocratiser l’art chorégraphique. ( www.reinventer.paris)


    • Qu’est-ce qu’un artiste ?
    Slam de Christine Bastin, chorégraphe et directrice artistique de cette fabrique

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  • Réseau : DOG//Grand Ouest Danse

    Réseau : DOG//Grand Ouest Danse

    DOG est une organisation informelle qui invente et porte un projet interrégional (Basse-Normandie, Bretagne, Pays-de-la-Loire) et interdépartemental (14-29-35-44-56-72), intitulé DOG Danse Grand Ouest, dont les intentions initiales et fondatrices s’inscrivent comme suit : A l’occasion de paroles croisées et de réflexion commune, un désir d’associer une certaine idée «d’effervescence» à l’art chorégraphique rassemble six lieux spécialisés, créés et ou gérés par des artistes chorégraphiques pour un regroupement exceptionnel.

    Immergés dans la création, les chorégraphes de ce collectif poursuivent, avec leurs équipes, le développement de leur propre démarche artistique. Portés par le désir de générer de nouvelles aventures, rencontres, de participer aux contenus en devenir et de tisser de nouveaux rapports avec d’autres artistes, ce sont eux qui alimentent le projet DOG, véritable performance fédératrice.

    Leurs envies conjuguées et leurs affinités les ont conduits à se réunir pour imaginer ensemble un maillage de leurs territoires afin d’offrir, en service mutualisé, une authentique coopération autour de la résidence de création chorégraphique ; ce collectif exemplaire se veut le garant d’une solidarité humaine et professionnelle tant sur le plan du compagnonnage que sur celui des démarches et contenus artistiques.

    Le projet est centré sur l’accueil d’auteurs chorégraphiques au cœur d’une proximité de territoire dont l’échelle géographique est appréhendable et humaine, et dont le modèle associatif qui est commun, préside au rapprochement des six structures partenaires.

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  • Presse : Mars 2016, Shall we dance ? // Hors série la terrasse

    Presse : Mars 2016, Shall we dance ? // Hors série la terrasse

    Après cet édito d’Agnés Santi : Danser au cœur de la cité : un défi et une nécessité , de nombreux articles sur :
    – Programmer la danse : enjeux artistiques et citoyens
    – Les nouveaux territoires de la danse : croisements et expériences.
    – Former les interprètes d’aujourd’hui pour les chorégraphes de demain
    – 30 ans après, où en sont les CCN ?
    – Création et répertoire : une mise en tension permanente
    – Créations, temps forts et festivals de l’année 2016

    Télécharger le Hors-Série

  • Plateforme Ressources: ARTfactories – Autre(s)pARTs

    Plateforme Ressources: ARTfactories – Autre(s)pARTs

    L’association Autre(s)pARTs, constituée en septembre 2000, a fusionné avec l’association ARTfactories en novembre 2007. 42 membres sont aujourd’hui réunis pour poursuivre l’objectif premier de « favoriser la mise en œuvre d’un centre commun de réflexion, de recherche et d’action pour la valorisation des projets et des lieux qui organisent leurs pratiques et expérimentations autour de nouvelles […] relations entre arts, territoires et populations ».

    ARTfactories/Autre(s)pARTs développe une plateforme de ressources en ligne qui réunit des projets, des lieux, des textes, et des expériences artistiques fondés sur un engagement avec les populations. Au travers de la production de ressources, notre association a pour but de favoriser la visibilité et la lisibilité de ces projets artistiques et culturels. Par l’organisation d’ateliers de réflexion ou par la mise à libre disposition ou la publication d’études et d’ouvrages, ARTfactories/Autre(s)pARTs réunit professionnels du secteur culturel, chercheurs et artistes afin de produire une réflexion sur ces démarches.

    L’objet de l’association s’articule donc autour du développement d’un espace et d’outils-ressources d’entraide et de coopération pour les lieux ou projets d’art et de culture investis dans des démarches artistiques citoyennes. Convaincue du rôle moteur de l’Art dans la société, ARTfactories/Autre(s)pARTs défend les démarches ou projets de création partagée avec les habitants tout en replaçant la question de la transformation sociale au cœur du débat.
    C’est un réseau unique d’acteurs investis sur des pratiques artistiques et sociales agissant à l’échelle régionale, nationale et internationale. »

    Le site de cette association est également une plateforme ressources qui propose une cartographie ressource d’initiatives repérées de par le monde de lieux, d’espaces-projets artistiques et culturels en lien avec leur territoire d’implantation et les populations.

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  • Studiolab/ La Ménagerie de Verre, soutien à la production

    Studiolab/ La Ménagerie de Verre, soutien à la production

    Le
 dispositif
 Studiolab s’inscrit
 dans
 cette
 volonté
 de
 la
 Ménagerie
 de
 Verre d’offrir
 aux
 artistes
 l’opportunité
 de
s’aventurer
 dans
 des
 projets 
innovants
 et
 d’accompagner
 le
 processus
 de
 création
 en
 mettant
 gracieusement
 à disposition ses espaces.

    Pour effectuer une demande de résidence en Studiolab, merci de nous adresser une demande par e-mail précisant les dates désirées, le projet, ses partenaires, des visuels, à l’adresse mail suivante : production@menagerie-de-verre.org

    Infos Ménagerie de Verre, 12/14 rue Léchevin,  75011 Paris
    01 43 38 33 44 / www.menagerie-de-verre.org

  • Regroupement Québécois de la Danse

    Regroupement Québécois de la Danse

    Le Regroupement québécois de la danse rassemble et représente plus de 500 professionnels de la danse de recherche, de création ou de répertoire et joue un rôle de premier plan dans l’avancement de tous les secteurs de la discipline : création, production, diffusion, formation, service.

    Initiateur de projets basés sur la concertation et les interventions à longue portée, dont le Plan directeur de la danse professionnelle au Québec 2011-2021, le RQD contribue activement à la reconnaissance et à l’amélioration des conditions de pratique de la danse sur la scène publique depuis 30 ans.

    Infos RQD – Regroupement québécois de la danse
    www.quebecdanse.org / www.facebook.com/quebecdanse

  • Life long burning/Projet européen

    Life long burning (LLB) est un projet supporté par le programme culturel de l’union européenne avec l’objectif de soutenir la danse contemporaine européenne et d’élargir son public. (suite…)

  • USINE C à Montréal

    Fondée par la compagnie de recherche et création Carbone 14, l’Usine C a fait le choix précurseur d’offrir une programmation pluridisciplinaire composée d’œuvres hybrides, au croisement du théâtre, de la danse, de la musique et des arts médiatiques. (suite…)

  • Formation Avancée et Itinérante des Arts de la Rue/FAI-AR

    Formation Avancée et Itinérante des Arts de la Rue/FAI-AR

    La FAI-AR est née du mouvement artistique des arts de la rue qui s’est développé en France à partir des années 1970. Elle est même la seule formation artistique dans le monde dédiée aux écritures de l’espace public. L’artiste, metteur en scène et scénographe urbain Michel Crespin en fut l’initiateur et l’architecte.

    Laboratoire de recherche et d’invention, la FAI-AR n’a aucune définition prédéterminée de ce que sont ou doivent être les arts de la rue. Elle n’est ni une académie ni un conservatoire : on n’y enseigne pas de matières gravées dans le marbre mais on y transmet outils, techniques, connaissances acquises au fil de leur pratique par des artistes eux-mêmes en recherche et en questionnement.

    Elle n’impose pas formes et esthétiques, elle ne formate pas. Il revient aux artistes dont elle accompagne l’émancipation d’écrire l’épopée sensible et poétique qui se déploie à l’ère numérique au cœur des villes, des paysages et des territoires. Le monde change, les arts évoluent, les artistes en sont les acteurs.

    La FAI-AR questionne évolutions techniques et esthétiques et les intègre à un programme pédagogique résolument prospectif. L’équilibre est recherché dans les formats – de l’intimiste au monumental-, dans les protocoles de création – de l’individuel au collectif-, dans la variété des thèmes et des lieux de travail.

    L’itinérance constitue une des modalités singulières de cette formation.
    Les anciens apprentis issus de la FAI-AR affirment haut et fort avoir « fait la FAI-AR ». C’est la marque d’un parcours, le signe d’appartenance à un groupe, à une promotion, la preuve du courage, du dépassement de soi, des efforts de partage et de respect de l’autre qu’il a fallu pendant les dix-huit mois du cursus.

    Ils ont « fait la FAI-AR » pour eux-mêmes, pour apprendre à se connaître comme artistes, pour préparer leur entrée dans le métier, pour les multiples rencontres avec des professionnels qu’aménage cette formation. Chacun d’eux a contribué aussi à « faire la FAI-AR » c’est à dire à la façonner, la construire, en définir la couleur d’une promotion à l’autre.

    Chaque apprenti est choisi pour sa singularité, ses compétences, la sincérité et la puissance de ce qu’il a à dire au monde. Tous ont le désir de se découvrir comme artistes et d’apprendre les spécificités de la création contemporaine en espace public. Ils veulent écrire pour la rue, devenir des auteurs de l’espace public.

    Jean-Sébastien Steil, Directeur

    Infos www.faiar.org

  • INHA* // Rencontres de la Galerie Colbert

    INHA* // Rencontres de la Galerie Colbert

    « Carrefour vivant de la recherche grâce aux rencontres qu’il organise et à sa Bibliothèque, il accueille étudiants et chercheurs de toutes origines pour enrichir constamment les travaux d’histoire de l’art sur toutes les périodes et selon toutes les approches ».

    L’INHA/Institut National d’Histoire de l’Art est notamment partenaire des Rencontres de la galerie Colbert. Une œuvre est choisie pour fédérer les réflexions et nourrir les débats, un chef-d’œuvre de l’art européen qui a durablement marqué l’imaginaire des artistes et des créateurs.

    La tenture de la Dame à la Licorne est l’œuvre choisie pour les 5e rencontres du 30 janvier 2016.

    En lisant les propos ci-dessous, on comprend la nécessité pour la danse de tisser des liens avec les autres champs de l’art et du savoir:

    Les multiples sujets que l’on peut aborder à partir de cette œuvre vont bien au-delà de l’intérêt que les concepteurs et réalisateurs portèrent à la tenture : l’allégorie des cinq sens, celle des six vertus courtoises du Roman de la Rose, le riche symbolisme de l’iconographie, la question du métier, sans oublier la représentation de la féminité.

    Ils concernent non seulement toute l’histoire de l’art, depuis l’iconographie antique des êtres fabuleux ou de la représentation de la féminité jusqu’à Gustave Moreau, Mapplethorpe, Rebecca Horne ou Grégoire Solotareff, mais aussi le spectacle vivant de Gaëlle Bourges ainsi que toutes les pratiques artistiques : peinture, architecture, sculpture, arts décoratifs, théâtre et opéra, musique, photographie, cinéma, vidéo, performance. »

    Dans le cadre de ces rencontres de 2016, la chorégraphe Gaëlle Bourges est invitée à présenter la captation vidéo de sa pièce  A mon seul désir .

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